Origine des Traditions & Croyances

Publié le par Erick

 

 
Origine des Traditions & Croyances
 
 
La découverte du Feu 
 
  Au début de l’humanité, l’homme ne maîtrisait pas le feu.
  Ne pouvant chasser avec les branches et les cailloux de la nature, il  semblait vivre de charognards, se réfugiait à l'intérieur de grottes naturelles, dans la peur des animaux féroces, subissant le froid et l’humidité.
 
  C’est lors d’incendies naturels, causés par la foudre ou les éruptions volcaniques, qu’il découvrit le pouvoir du feu et le vénéra. Ce feu pouvait être dévastateur, tel un dragon dévastant tout sur son passage, ou bienfaiteur, par le rayonnement de sa chaleur et sa protection contre les bêtes sauvages.
 
  Peu à peu, il apprit à le domestiquer et l’entretenir dans des sortes de cages qu’il transportait toujours avec lui. Cette découverte remonte à 500 000 ans environ.
 
  Ce feu rapprocha les hommes et joua un rôle social important dans le développement de la communication et la naissance du langage, mais aussi provoquait des conflits sanglants, la Guerre du Feu. En effet, la tribu ayant laissé éteindre une telle richesse attaquait les autres pour s’emparer de la précieuse cage à feu.
 
  A l’époque du Paléolithique, nos ancêtres découvrirent le moyen de le faire jaillir par frottement de deux morceaux de bois, l’un tendre et l’autre plus dur. Ils eurent l’idée de faire de même avec deux pierres de silex et pyrite.
 
  Bien plus encore, ils confectionnèrent peu à peu des armes leur permettant de chasser, et donc de cuire et fumer la viande fraîche, tanner les peaux dont ils se couvraient, se protégeant ainsi du froid.
Ils s’éclairèrent aussi, s’enfonçant dans les grottes profondes et protectrices où ils se sédentarisaient, et exercèrent leurs talents artistiques par des peintures à l’ocre rouge sur les parois. Ces magnifiques et émouvants  messages  font notre admiration encore aujourd’hui …
 
L’allumette 
 
  Comme nous venons de le voir, l’Homo érectus découvrit le feu, mais il faut attendre 1669 pour que l’alchimiste de Hambourg, Henning Brandt fasse sa découverte : Il pensait transformer un mélange de métaux de base en or, mais ce fut du phosphore qu’il trouva dans la cornue.
 
  En 1680, Boyle eut l’idée de frotter ensemble deux petits morceaux, l’un   de phosphore, l’autre de bois trempé dans du soufre : Le brin de bois prenait feu. Le principe chimique de l’allumette était trouvé.
 
  Cependant, les allumettes dites Lucifers s’enflammaient au moindre contact, provoquant des incendies et dégageant une odeur très forte.
 
  C’est seulement en 1855 que les allumettes de sûreté furent commercialisées – une partie du combustible se trouvait dans la tête de l’allumette, l’autre sur la surface rugueuse de la boite – On commença à faire de la publicité sur les boîtes et pochettes…
 
L’été indien 
 
  Nous sommes à la mi-octobre : les brouillards du petit matin, les feuilles qui se parent de nouvelles couleurs et commencent à choir sur le sol, la bogue épineuse des marrons qui éclate et laisse ainsi échapper leur fruit, tout nous annonce l’automne.
 
  Cependant, le soleil est présent et encore chaud, le ciel bleu , tout nous invite à profiter des derniers beaux jours : c’est l’Eté Indien que l’on appelle aussi au Canada «L’Eté des Indiens». En France, on parle de l’été de la Saint-Martin
 
  En fait, cette période était propice aux Amérindiens pour terminer les derniers travaux et préparer des provisions pour l’hiver très rude et froid. L’Europe s’est emparée de cette expression, influencée peut-être par la chanson de Joe Dassin, mais elle remonte en fait à la fin du 18ème siècle et vient de Pennsylvanie.
  
  Sans vouloir être superstitieux, certains gestes de la Vie quotidienne prennent une signification particulière : soit pour conjurer le mauvais sort, soit pour aider à favoriser une entreprise…
 
Croiser les doigts 
 
  A l’origine, à l’ère préchrétienne  en Europe occidentale, lorsque deux amis se rencontraient et exprimaient le même souhait, l’un plaçait son index sous celui de son interlocuteur pour que les deux doigts forment une croix,  et offrait ainsi son soutient moral.
 
  Avec le temps, la règle devint moins stricte : pour appeler la chance, il suffisait de croiser l’index et le majeur de manière à former un X.
 
Geste du pouce
 
  On exprime son approbation, sa détermination ou son admiration en fermant la main, le pouce levé vers le haut.
 
  Cependant, pour un gladiateur étrusque du IVe siècle avant J.C. ce geste signifiait beaucoup plus et le soulageait, car sa vie serait épargnée. Si par malheur, les pouces des spectateurs étaient dirigés vers le bas, il savait qu’ils lui laissaient peu de temps avant son trépas.
 
Pile ou Face 
 
  Dans l’antiquité, les gens pensaient que les grandes décisions de la Vie devaient être prises par les dieux. Ils inventèrent toutes sortes de méthodes fort ingénieuses pour amener les divinités à répondre aux questions importantes par un « oui » ou un « non » sans équivoque.
 
  IL fallut attendre 900 ans pour que Jules César institua la pratique du  « pile ou face» : sur chaque pièce romaine, le visage de l’empereur apparaissait sur l’un des côtés. C’était donc ce côté face, en l’occurrence celle de César, qui désignait le vainqueur d’un conflit et transmettait la réponse affirmative des dieux.
 
Mauvais œil 
 
« Regarder d’un sale œil, foudroyer du regard, jeter un regard noir », nombreuses sont les expressions liées à l’une des peurs se retrouvant pratiquement dans toutes les cultures. Comment une telle croyance, le mauvais œil, a-t-elle pu germer chez tant de peuples si différents? Lorsqu’on regarde une personne droit dans les yeux, on distingue sa propre image en miniature dans le noir de la pupille, par un phénomène de réflexion. Certaines tribus primitives se sentaient en danger, craignant de voir logée leur image de façon permanente dans un œil malfaisant, volée par celui-ci.
 
  Les Egyptiens avaient un antidote contre le mauvais œil : le Khôl, premier mascara de l’histoire. On sait qu’un cercle noir dessiné autour d’un œil absorbe la lumière du soleil, et minimise ainsi le reflet dans les yeux, les effets d’éblouissement, surtout dans le désert…
 
Bâillements 
 
  Aujourd’hui, on considère comme la moindre des politesses de dissimuler un bâillement. A l’origine pourtant, cette habitude tenait de la peur : au cours d’une trop forte expiration, l’âme, et par là, la Vie même, ne risquait-elle pas de quitter le corps ? On portait sa main à sa bouche dans l’espoir de retenir le souffle de Vie.
 
Coutumes du mariage 
 
Traditions 
 
  Chez les Goths, vers l’an 200 de notre ère, tout homme devait choisir son épouse dans sa propre communauté. Toutefois, si elles se faisaient rares, on avait le droit de les choisir dans un village voisin ; dans ce cas, il fallait les capturer de force. Le futur époux, accompagné d’un ami, s’emparait de la première demoiselle qui, ayant commis l’imprudence de quitter la maison paternelle, se trouvait sur son chemin. C’est de cette pratique de rapt, l’enlèvement d’une jeune fille, que nous vient la coutume de porter la mariée pour lui faire franchir le seuil de sa nouvelle maison. Le garçon d’honneur était armé, craignant que la famille ne vienne récupérer leur fille par la force.
 
  La tradition qui dicte à la femme de se tenir à gauche de son fiancé ne relève pas d’une simple étiquette : chez les Barbares du nord de l’Europe, l’homme plaçait de ce côté la femme qu’il avait capturée pour la préserver, gardant ainsi la main droite libre pour saisir son épée en cas d’attaque soudaine…
 
Publier les bans
 
  A l’époque féodale, En Europe, chez les pauvres comme chez les riches, la filiation des enfants n’était pas toujours très claire. Etant donné le nombre d’incartades extraconjugales, il n’était pas rare de voir un jeune homme épouser sans le savoir sa demi-sœur. Charlemagne, alarmé par cette fréquence aux désastreuses conséquences héréditaires, publia un décret : tout mariage devait être publiquement proclamé au moins 7 jours avant la cérémonie. Toute personne devra avertir les autorités au moindre soupçon. Cette pratique s’avéra si efficace qu’elle gagna rapidement dans tout type de religion.
 
Alliance
 
  Ce fut vers l’an 2800 avant J.C. que l’on offrit pour la première fois une véritable bague à l’occasion d’un mariage en Egypte.
Le cercle, qui ne présente ni début ni fin, était un symbole d’éternité.
 
  Chez les Romains, l’alliance symbolise les fers dont on se servait pour emmener la nouvelle mariée à son nouveau foyer. Les hébreux plaçaient l’anneau de mariage à l’index. En Inde, la bague nuptiale était portée au pouce.
 
  Les chrétiens la mettaient à l’annulaire, censé contenir la veine d’Amour reliée directement au Cœur. Lors de la cérémonie du mariage, le jeune marié commençait par placer l’anneau en haut de l’index de la jeune fille en annonçant : Au nom du Père. Il passait au majeur en déclarant : Au nom du Fils, et concluait : Et du Saint Esprit, Amen, en introduisant la bague à l’annulaire.
 
Robe blanche et voile
 
  Il y a des siècles que le blanc symbolise la pureté et la virginité. Pourtant, dans la Rome antique, c’était le jaune que l’on préconisait  pour la robe, et pour le voile de mariage, appelés flamme qui recouvrait le visage de la jeune fille.
 
  Il faut savoir que ce voile est de plusieurs siècles antérieur à la robe de mariée, et est une invention…masculine. Un moyen des plus anciens pour maintenir la femme en position d’infériorité et à l’abri des regards de convoitise. Apparu en Orient il y a plus de 4000 ans, il était porté tout au long de la Vie par les femmes célibataires en signe de pudeur, et par les femmes mariées comme preuve de soumission à leur époux.
 
  Dans la religion musulmane, la femme se cachait une partie du visage chaque fois qu’elle sortait. Avec le temps, cette règle instaurée devint plus stricte encore : seuls les yeux furent autorisés à rester découverts… A méditer !
 
La marche nuptiale 
 
  Traditionnellement, un mariage à l’église comporte deux marches nuptiales, crées par deux compositeurs différents. La mariée se dirige vers l’autel sur l’air lent et majestueux de la Marche Nuptiale extraite de Lohengrin, l’opéra de Wagner écrit en 1848.
 
  Après la cérémonie, les nouveaux mariés sortent ensemble sur l’air joyeux, plus enlevé, de la Marche Nuptiale extraite du Songe d’une Nuit d’été, crée par Félix Mendelssohn en 1826.
 
  La coutume remonte au mariage royal en 1858 de Victoria, Impératrice d’Allemagne avec le Prince Prussien  Frédéric, fils de Guillaume 1er. Victoria choisit elle-même la musique de son mariage et la tradition se répandit dans tout l’occident.     
 
Lune de miel
 
  Le mot scandinave pour lune de miel provient en partie d’une ancienne coutume nordique. An cours de leur premier mois de vie commune, les nouveaux mariés buvaient chaque jour une tasse de vin de miel nommé hydromel.
 
Saint-Valentin 
 
  Quand on parle d’amour…
 
  Au IVème siècle avant J.C. , les adolescents romains devaient se soumettre à un rite d’initiation dédié au dieu Faunus Lupercus, Le Loup, que l’on identifia vite à Pan, le protecteur des bergers. Les noms des jeunes filles étaient tirés au sort par les jeunes gens. Un jeune se voyait assigné à une jeune fille comme partenaire de ses jeux, souvent sexuels, pendant la durée d’une année. Celle-ci achevée – l’année, pas la partenaire! – on procédait à une autre loterie.
 
  L’église voulut mettre un terme à cette coutume : or, un évêque nommé Valentin, protecteur des amoureux, les encouragea à venir le trouver en secret et recevoir de lui la bénédiction du mariage. L’empereur Claude, qui avait décidé d’abolir ces unions, le fit appeler, fouetter, lapider et décapiter.
 
  L’histoire veut que, pendant qu’il attendait son exécution dans sa prison, Valentin se soit épris de la fille aveugle de son geôlier, Astérius. Grâce à sa foi à toute épreuve, il lui rendit la vue et, avant d’être conduit au supplice, il lui laissa un mot d’adieu : De Ton Valentin
 
  Une petite phrase qui allait lui survivre longtemps après sa mort.
Saint-Valentin est ainsi devenu le patron des Amoureux…
 
Les cartes de la Saint-Valentin 
 
  À Rome, la tradition voulait que la mi-février soit l’époque où l’on faisait la cour à l’élue de son cœur. Les jeunes gens de Rome prirent l’habitude d’offrir à la femme de leurs rêves des vœux affectueux chaque 14 février.
 
  Pourquoi attendre cette date alors que chacun peut prouver son amour par de simples attentions délicates…Un mot Je t’aime ne coûte rien, et fait tant de bien à celle ou celui qui le reçoit !
 
Sans transition, nous allons faire un bond en développant un dernier sujet :
 
Rites et coutumes mortuaires 
 
  Ce fut l’homme de Neandertal qui inaugura la pratique de rites funéraires.
 
  En Asie occidentale, il y a 50 000 ans, il enterrait le corps du défunt avec de la nourriture, des armes pour chasser, de quoi faire du feu, et répandait sur son corps un assortiment de fleurs. Le feu des torches près des tombes guidait l’âme pour trouver le chemin de la demeure éternelle.
Notre mot funérailles vient d’ailleurs de la racine latine funus qui signifie torche.
 
Croque-mort 
 
  Dans les temps anciens, pour s'assurer que quelqu'un était bien décédé, l'usage voulait qu'une personne en charge de cette vérification morde violemment un des doigts de pied de la victime (généralement le gros orteil).Si rien ne se passait, la personne était déclarée morte. C'est donc de là que vient l'appellation de croque-mort.
 
  Cette fonction de croque-mort, qui était en fait comme une vraie charge (comme les bourreaux), se transmettait de père en fils depuis la nuit des temps.
 
  Or, un jour, il arriva une catastrophe : le dernier croque-mort, bien qu'ayant eu de nombreux enfants, n'avait aucun garçon. Sa fille aînée reprit donc sa charge. Mais voilà que la première victime qu'elle eut à traiter était un homme qui avait eu une grave maladie. La gangrène l'avait en partie gagné, et on lui avait coupé les deux jambes jusqu'à la hauteur des cuisses. La jeune fille examina la situation et mordit donc, avec tendresse et précaution, le premier membre inférieur qu'elle put trouver.

  Ce fut à cette époque, et très précisément dans ces circonstances, que l'on passa de l'expression de croque-mort... à celle de pompe funèbre.
 
Cercueil
 
  Vers 4000 avant J.C. les Sumériens enterraient leurs morts dans des paniers de brindilles tressées. Dans les pays nordiques, des mesures étaient prises pour empêcher le mort de venir hanter les vivants. On liait le corps, suivait un itinéraire fort complexe pour le mener au cimetière : ainsi, l’âme du défunt ne pouvait retrouver le chemin de son ancienne demeure. Si l’on considérait comme sage précaution d’enterrer le corps à six pieds sous terre, on trouvait plus prudent encore de l’enfermer d’abord dans un cercueil de bois, dont on clouait le couvercle pour plus de sûreté.
 
  Une fois placé en terre, il était recouvert d’une pierre très lourde avant d’être enseveli. Une pierre plus large encore était ensuite posée sur ce tombeau, donnant naissance à la pratique de la pierre tombale…
 
 
Nous avons fait un long parcours dans le Temps et les Croyances :
Du feu, symbole de la Vie, à la Mort, symbole de la fin du Voyage, (eh ! Quel Voyage !!!...), en  passant par une succession de découvertes.
Si vous appréciez ce genre de texte, je me ferai un plaisir de publier une suite, sur d’autres coutumes…
 
 
                                                                            Erick,…(Texte inspiré de diverses documentations)
 
 
                                                         

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H
Erick<br /> Mais si tu les mérite les bisous...je te taquine et tu me connais ,je ne veux pas te voir pleurer..Le ciel pleure assez pour nous en ce moment .<br /> Comment vas tu malgré ses longues journées ?<br /> je t'embrasse avec plein de bisous mérités affectueusemnet hysatis<br /> Coucou Hysatis ! <br /> Plus de problème d’ordinateur, comme tu pourras le constater dans mon dernier article. <br /> Merci pour tes bisous : je t’envoie un colis des miens pour tous ceux que j’ai loupés mdr… <br /> Bonne semaine en espérant que ton chef-d’œuvre avance et te remplit de satisfactions. <br /> A bientôt le plaisir de te lire .Bisous (bis)
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F
Bonsoir petit bonheur, <br /> Je passais visiter des blogs amis et j'ai eu l'énorme envie de te faire un bisou :0010:<br /> PS: je n'ai plus de nouvelles et je m'inquiète :0001:<br /> Amitiés<br /> Florence<br /> Chère Flo <br /> Je suis touché par ta sollicitude. Merci à toi. <br /> Je dois avouer avoir été fainéant pour écrire ces tous derniers jours, car fatigué. Mais, qui ne l’est pas ? <br /> Je t’ai laissé un commentaire dernièrement, très ému par ton article " Dans ma bulle " et je t’ai même passé le relais pour le jeu  «  tous solidaires sur la chaîne Over-Blog  » Petit cadeau empoisonné ? Non, car tous aiment et s’intéressent à ton blog et reprendront tes anciens articles par curiosité. Et puis, tu n’es pas obligée de participer… <br /> Voici donc les dernières nouvelles. Je t’embrasse affectueusement. Erick,
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H
Erick<br /> petit passage éclair mais je ne t'oublie pas!<br /> je t'embrasse affectueusement amitié hysatis<br /> Moyra j'aime aussi ce mot handifference bien trouvé merci!<br /> bonne journée Erick ici il fait froid et je retourne au taff (j'aime mon taff,merci à mes parents de m'avoir payé des études dand ce dommaine..)bisousss Erick<br /> Et bien tu en as des bisous de moi ,les mérites tu au moins??oui bien sûr ho!!la chipie (c'est pour te faire sourire!!)rebisousssssss<br /> <br /> Chère Hysatis <br /> Moi non plus je ne t’oublie pas, mais nous avons nos obligations de travail. <br /> Je te remercie pour tes bisous… <br /> Euh, je ne sais si je les mérite, moi ? Eh bien, voilà, c’est gagné, tu me fais pleurer. Pourtant, je sais bien que tu n’es pas une chipie, toi ! Quoi que… <br /> Bon, pas rancunier, moi. Je t’en donne un quand même <br /> A bientôt !!!
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R
Bonjour Erick,<br /> Heu, j'ai un petit quelque chose qui t'attend sur mon blog. J'avoue que ce n'est pas mon genre d'habitude, mais, là, j'ai pensé que ça pouvais avoir du bon, alors je me suis laissée prendre au jeu. Et puis c'est Moyra qui me l'a passée, alors, il peut rien avoir de mal. :D<br /> Voilà, ben j'espère que tu m'en voudras pas :p<br /> Bisou amical<br /> Bonne journée<br /> Ruby<br /> Coucou Ruby <br /> Bien sûr que je ne t’en veux pas ! La preuve est que j’en ai fait un petit article… <br /> Seulement, sans toi, je n’y serais jamais arrivé ! <br /> Tu me demandes d’effacer  tes explications pour inclure des liens dans le texte, je vais obtempérer -sourire- mais je les aurais bien laissées ! Tu es un bon prof et je n’ai pas honte d’avoir besoin de tes conseils si gentiment donnés. <br /> Encore merci et bonne journée. <br /> Bisous d’Erick
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M
Un bisou du dimanche après-midi sous la pluie. Merci d'avoir aime "Handifférence" il me tient à coeur: je suis concernée comme toi.:D<br /> J’ai gardé tes bisous au chaud pour faire une réserve jusqu’à ce soir mardi ( même mercredi car il est 1 heure du matin )  Oui, j’ai été touché par ce texte où tu traduis si bien nos ressentis. Merci à Toi<br /> Gros bisous d’Erick
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